domingo, 28 de febrero de 2010
Monsieur Pouce
Monsieur Pouce |
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jueves, 25 de febrero de 2010
Les trois petits cochons
Il était une fois une vieille truie qui avait trois petits cochons. Comme elle était trop pauvre pour les garder, elle les envoya chercher fortune au loin.
Le premier rencontra un homme qui portait une botte de paille. « S'il te plaît, mon brave, donne-moi cette botte de paille pour construire ma maison. » L'homme la lui donna et le petit cochon construisit sa maison. Un loup vint à passer par là. Il frappa à la porte du petit cochon et il lui dit : « Petit cochon, laisse-moi entrer dans ta maison. » « Non, non, par le poil de mon petit menton ! » répondit le petit cochon. « Alors je vais souffler, et ta maison va s'écrouler ! » dit le loup. Il souffla et poussa. La maison s'écroula et il mangea le petit cochon.
Blanche-Neige
Adapté du Conte de Grimm.
Tiré du livre: Mille ans de Contes...
Il était une fois, par un jour d'hiver, une reine qui cousait
auprès d'une fenêtre en bois d'ébène. Dehors, il neigeait.
La reine ouvrit la fenêtre pour regarder danser les flocons
et elle se piqua avec son aiguille. Quelques gouttes de sang
tombèrent dans la neige.
C'était si joli ce rouge sur le blanc que la reine dit :
_ Je voudrais un enfant qui ait la peau blanche comme la
neige, les lèvres et les joues rouges comme le sang, et les
cheveux noirs comme l'ébène de la fenêtre.
Quelques temps après, elle mit au monde une petite fille qui
avait la peau blanche comme la neige, les lèvres et les joues
rouges comme le sang et les cheveux noirs comme l'ébène.
On l'appela Blanche-Neige.
Mais la reine tomba malade et mourut.
Le roi se remaria avec une femme très belle mais très
orgueilleuse. Elle possédait un miroir magique et chaque
matin, elle se regardait et demandait :
<<>>
Et le miroir répondait :
<< Ô reine, tu es la plus belle en ce royaume. >>
Mais Blanche-Neige grandissait et devenait de plus en plus
belle. Un jour, le miroir répondit :
<< Ô reine, tu es très belle, mais Blanche-Neige est la plus belle en ce royaume. >>
En entendant ces mots, la reine devint pâle de rage et de
jalousie. Elle se mit à haïr Blanche-Neige, et bientôt, elle
ne put supporter de la voir. Alors, elle appela un de ses
serviteurs et lui dit :
_ Conduis Blanche-Neige au plus profond de la fôret et
tue-la. Je ne veux plus la voir. Pour preuve de sa mort,
rapporte-moi son coeur.
Le serviteur obéit et il emmena Blanche-Neige au plus
profond de la fôret. Mais quand il tira son
couteau de chasse,
Blanche-Neige se mit à pleurer.
_ Laisse-moi la vie, lui dit-elle ; je m'en irai dans les bois
et je ne reviendrai jamais.
_ Va, sauve-toi vite ! lui dit-il, tout en étant certain que
les bêtes sauvages auraient vite fait de la dévorer.
Il transperça d'une flèche une petite biche et prit son coeur
pour le rapporter à la reine.
Blanche-Neige resta seule dans la fôret.
Elle se mit à marcher,
à marcher. Autour d'elle, il y avait toutes sortes de bêtes
sauvages mais aucune ne lui fit du mal. Elle arriva enfin à
une petite maison où il n'y avait personne. Ses petits pieds
n'avaient plus la force de marcher, alors elle entra dans la
maison pour se reposer.
À l'intérieur, tout était propre et bien rangé. Sur la table,
il y avait sept petites assiettes, avec sept petits couverts, sept
petits verres remplis de vin et sept petits pains. Comme elle
avait très faim, elle mangea un petit bout de chaque pain et
comme elle avait très soif, elle but une gorgée de vin dans
chaque verre.
Le long du mur étaient alignés sept petits lits. Elle les essaya
l'un après l'autre ; ils étaient trop longs ou trop courts ;
mais le dernier se trouva juste à sa taille. Elle s'y coucha et
quelques instants plus tard, arrivèrent les maîtres de la
maison. C'était sept petits nains qui travaillaient à chercher
de l'or dans la montagne. Ils allumèrent leurs sept lampes
et virent que tout n'était pas comme ils l'avaient laissé.
Le premier dit ;
_ Qui s'est assis sur ma chaise ?
Le deuxième ;
_ Qui a mangé dans mon assiette ?
Le troisième ;
_ Qui a pris un morceau de mon pain ?
Le quatrième ;
_ Qui a touché ma cuillère ?
Le cinquième ;
_ Qui s'est servi de ma fourchette ?
Le sixième ;
_ Qui a coupé avec mon couteau ?
Le septième ;
_ Qui a bu dans mon verre ?
Puis le premier vit que son lit avait été dérangé et dit ;
_ Qui s'est couché sur mon lit ?
Les autres arrivèrent en courant et s'écrièrent ;
_ Qui s'est couché sur mon lit ?
Mais le septième trouva Blanche-Neige sur son lit et appela
les autres pour la leur montrer ;
_ Oh ! comme elle est belle ! dirent-ils tous.
Ils étaient si heureux de la voir qu'ils ne la réveillèrent pas.
Le septième nain dormit une heure avec chacun de ses
compagnons et ainsi passa la nuit.
Au matin, lorsqu'elle s'éveilla, Blanche-Neige eut d'abord
très peur en voyant les sept nains. Mais ils avaient l'air si
gentils qu'elle finit par leur raconter ses aventures. Alors
les nains lui dirent ;
_ Si tu veux, tu peux rester avec nous. Tu feras la cuisine
et le ménage et tu ne manqueras de rien.
_ Oh oui ! dit Blanche-Neige, je veux rester avec vous.
Elle s'installa donc avec eux et s'occupa de la maison. Le
matin, les nains partaient travailler dans la mine d'or et
Blanche-Neige était seule toute la journée. Ils lui dirent
cependant de se méfier ;
_ La reine saura bientôt que tu es ici. Surtout ne laisse
entrer personne !
De son côté, la reine croyait que Blanche-Neige était morte
et que désormais personne ne la surpassait en beauté. Elle
alla se regarder dans le miroir et dit ;
<<>>
Et le miroir répondit ;
<< Ô reine, tu es très belle, Mais, derrière les sept collines, dans le bois auprès des nains, Blanche-Neige est mille fois plus belle que toi. >>
La reine fut bouleversée car elle savait que le miroir ne
mentait jamais. C'était donc le serviteur qui l'avait trompée !
Rongée de jalousie, elle chercha un moyen
pour se débarrasser
de Blanche-Neige. Elle se déguisa en vieille marchande
et parcourut les sept collines pour arriver à la maison des
nains. Elle frappa à la porte en criant ;
_ dentelles et rubans à vendre, corsages et lacets à vendre.
<<>> Elle déverrouilla la porte et acheta un joli
corsage.
La vieille lui dit ;
_ Viens, je vais te l'ajuster comme il faut !
La jeune fille ne se doutait de rien. Elle la laissa serrer le
corsage avec un lacet. Mais la vieille serra de toutes ses
forces, si bien que Blanche-Neige perdit le souffle et tomba
comme morte.
_ Maintenant, c'est moi la plus belle ! ricana la fausse
marchande en s'enfuyant.
Peu de temps après, les nains arrivèrent et trouvèrent
Blanche-Neige inanimée. Effrayés, ils la soulevèrent et virent
que le lacet était trop serré. Ils se dépêchèrent de le couper
et elle recommença à respirer doucement puis elle reprit
conscience. Quand ils surent ce qui s'était passé, ils lui
dirent ;
_ Bien sûr, cette marchande, c'était la reine elle-même !
Sois très prudente, ne laisse entrer personne quand tu es
seule.
Dès son retour, la reine se précipita vers son miroir et lui
demanda ;
<<>>
Et le miroir lui répondit ;
<< Ô, reine, tu es très belle, mais, derrière les sept collines, dans les bois auprès des nains, Blanche-Neige est mille fois plus belle que toi. >>
Quand la reine entendit ces mots, tout son corps se mit à
trembler de rage et elle s'écria ;
_ Blanche-Neige mourra, même si je dois en
mourir moi aussi !
Elle se retira dans sa chambre secrète et empoisonna une
pomme. C'était une jolie pomme, blanche d'un côté et rouge
de l'autre, et si appétissante que, rien qu'à la voir, on avait
envie d'y mordre. Mais il suffisait d'en avaler un petit bout
pour mourir.
Puis la reine se maquilla et se déguisa en paysanne. Elle
parcourut les sept collines et arriva à la maison des nains.
Elle frappa à la porte mais Blanche-Neige, en se penchant
à la fenêtre, lui dit ;
_ Je ne peux laisser entrer personne ; les sept nains me
l'ont interdit.
_ Tant pis, dit la vieille femme, j'irai vendre mes pommes
ailleurs, mais tu es si mignonne, laisse-moi t'en offrir une.
_ Non, non, dit Blanche-Neige, je ne dois rien accepter.
_ Petite sotte, s'écria la vieille, de quoi as-tu peur ?
Tu crains qu'elle ne soit empoisonnée ? Regarde, je la coupe
en deux ; j'en mange une moitié et toi l'autre.
La méchante reine se mit à manger la moitié blanche, qui
n'était pas empoisonnée, et tendit la moitié rouge à
Blanche-Neige. La pauvre avait très envie de cette pomme et
voyant que la vieille en mangeait, elle ne résista plus. Elle
tendit la main, prit la moitié rouge et croqua une bouchée.
Elle tomba aussitôt sur le sol, morte.
La reine la regarda avec une joie méchante et ricana ;
_ Cette fois, les nains ne pourront pas te sauver !
Elle se dépêcha de rentrer chez elle
pour demander au miroir ;
<<>>
Le miroir répondit ;
<< Ô, reine tu es la plus belle en ce royaume. >>
Et son coeur jaloux fut heureux, pour autant qu'un coeur
jaloux puisse être heureux.
Quand les petits nains rentrèrent chez eux, ils trouvèrent
Blanche-Neige par terre, inanimée. Vite, ils la soulevèrent
du sol, desserrèrent son corsage, coiffèrent ses cheveux, lui
lavèrent le visage avec de l'eau, lui firent respirer du vin.
Mais rien n'y fit ; la pauvre petite était bien morte. Ils la
pleurèrent trois jours durant et se préparèrent à l'enterrer
mais son visage était beau comme celui d'un être vivant et
ses joues restaient rouges. Alors ils se dirent : <<>>
Ils fabriquèrent un cercueil de verre qui permettrait de la
voir par transparence, la placèrent à l'intérieur et écrivirent
dessus en lettre d'or <<>>.
Ils portèrent le cercueil en haut de la montagne
et chaque jour l'un d'eux monta la garde
près de lui. Les oiseaux vinrent aussi et pleurèrent sur elle ;
d'abord un hibou, puis un
corbeau, puis une colombe.
Blanche-Neige resta longtemps dans son cercueil de verre,
toujours aussi jolie. Avec sa peau blanche comme la neige,
ses joues rouges comme le sang et ses cheveux noirs comme
l'ébène, elle semblait dormir.
Un jour, un prince qui était en voyage s'arrêta chez les nains
pour y passer la nuit. Il vit le cercueil, Blanche-Neige et les
mots en lettres d'or ; il dit aux nains ;
_ La princesse Blanche-Neige est si belle que je veux
l'avoir toujours près de moi. Dites-moi ce que vous voulez
en échange de ce cercueil.
_ Même pour tout l'or du monde, nous ne voulons pas
nous en séparer, répondirent-ils.
_ Alors donnez-le moi pour rien, je vous en prie, dit le
prince, car je ne pourrai plus vivre sans avoir Blanche-Neige
près de moi. Désormais, je n'aurai pas d'autre bien-aimée qu'elle.
En voyant l'amour du prince, les petits nains eurent pitié
de lui et lui donnèrent le cercueil. Les serviteurs du prince
l'emportèrent sur leurs épaules, mais en marchant,
l'un d'eux trébucha sur un caillou et la secousse
fit sortir de la bouche de Blanche-Neige le morceau
de pomme empoisonné.
Aussitôt, elle ouvrit les yeux, leva le couvercle du cercueil
_ Mon Dieu ! Où suis-je ?
_ Près de moi, répondit le prince.
Il lui raconta tout ce qui c'était passé et ajouta ;
_ Je t'aime plus que tout au monde. Viens avec moi au
château de mon père et nous nous marierons.
Blanche-Neige accepta de l'accompagner et le prince
prépara un magnifique mariage.
Il envoya une invitation à tous les
rois et toutes les reines qu'il connaissait. La méchante
reine, belle-mère de Blanche-Neige reçut elle aussi une
invitation. Elle se maquilla, mit sa plus belle robe, ses plus
beaux bijoux et se regarda dans le miroir en demandant ;
<<>>
Et le miroir répondit ;
<< Ô, reine, tu es la plus belle ici, mais au mariage, la jeune fiancée sera mille fois plus belle que toi. >>
En entendant ces mots, elle cria les plus affreux jurons et
devint folle de rage. D'abord, elle se dit qu'elle n'irait pas
au mariage, mais elle avait trop envie de voir cette fiancée
si belle. Dévorée de curiosité et de jalousie, elle se rendit à
la fête et quand la mariée apparut,
elle reconnut Blanche-Neige. Elle resta un instant
paralysée de terreur en voyant vivante celle
qu'elle croyait morte,
puis elle se mit à danser, sans pouvoir s'arrêter. Elle dansa
tellement qu'elle tomba morte d'épuisement sur le sol.
Quand à Blanche-Neige, elle vécut très heureuse avec le
prince...
lunes, 22 de febrero de 2010
Le Petit Chaperon Rouge
LE PETIT CHAPERON ROUGE
de Charles Perrault
de Charles Perrault
Il était une fois une petite fille de village, la plus jolie qu'on eût su voir; sa mère en était folle, et sa mère-grandplus folle encore.
Cette bonne femme lui fit faire un petit chaperon rouge qui lui seyait si bien, que partout on l'appelait le petit chaperon rouge.
Un jour sa mère, ayant cuit et fait des galettes, lui dit:
- Va voir comment se porte ta mère-grand, car on m'a dit qu'elle étaitmalade, porte-lui une galette et ce petit pot de beurre.
Le petit chaperon rouge partit aussitôt pour aller chez sa mère-grand, qui demeuraitdans un autre village.
En passant dans un bois elle rencontra compèrele loup, qui eut bien envie de la manger, mais il n'osa, à cause de quelques bûcherons qui étaient dans la forêt. Il luidemanda où elle allait; la pauvre enfant, qui ne savait pas qu'il est dangereux de s'arrêter à écouter un loup, lui dit:
- Je vais voir ma mère-grand, et lui porter une galette avec un petit pot de beurre que ma mère lui envoie.
- Demeure-t-elle bien loin?lui dit le loup.
- Oh! oui, dit le petit chaperon rouge, c'est par delàle moulin que vous voyez tout là-bas, là-bas, à la première maison du village.
- Eh bien!, dit le loup, je veux y aller voir aussi; je m'y en vais par ce chemin-ci, et toi par ce chemin-là,et nous verrons qui plus tôt y sera.
Le loup se mit à courir de toute sa force par le chemin qui était le plus court, et la petite fille s'en alla par le chemin le plus long, s'amusant à cueillir des noisettes, à courir après des papillons, et à faire des bouquets des petites fleurs qu'elle rencontrait.
Le loup ne fut pas longtemps à arriver à la maison de la mère-grand; il heurte: Toc, toc.
- Qui est là?
- C'est votre fille le petit chaperon rouge, dit le loup, en contrefaisant sa voix, qui vous apporte une galette et un petit pot de beurre que ma mère vous envoie.
La bonne mère-grand,qui était dans son lit, car elle se trouvait un peu mal, lui cria:
- Tire la chevillette, la bobinette cherra.
Le loup tira la chevillette, et la porte s'ouvrit.
Il se jeta sur la bonne femme, et la dévora en moins de rien; car il y avait plus de trois jours qu'il n'avait mangé. Ensuite il ferma la porte, et s'alla coucher dans le lit de la mère-grand, en attendant le petit chaperon rouge, qui quelque temps après vint heurter à la porte. Toc, toc.
- Qui est là?
- Le petit chaperon rouge, qui entendit la grosse voix du loup, eut peur d'abord, mais croyant que sa mère-grand était enrhumée, répondit:
- C'est votre fille le petit chaperon rouge, qui vous apporte une galette et un petit pot de beurre que ma mère vous envoie.
Le loup lui cria, en adoucissant un peu sa voix:
- Tire la chevillette, la bobinette cherra.
Le petit chaperon rouge tira la chevillette, et la porte s'ouvrit. Le loup, la voyant entrer, lui dit en se cachant dans le lit sous la couverture:
- Mets la galette et le petit pot de beurre sur la huche, et viens te coucher avec moi.
Le petit chaperon rouge se déshabille, et va se mettre dans le lit, où elle fut bien étonnée de voir comment sa mère-grand était faite en son déshabillé. Elle lui dit:
- Ma mère-grand que vous avez de grands bras!
- C'estpour mieux t'embrasser ma fille.
- Ma mère-grand que vous avez de grandes jambes!
- C'est pour mieux courir mon enfant.
- Ma mère-grand que vous avez de grandes oreilles!
- C'est pour mieux écouter mon enfant.
- Ma mère-grand que vous avez de grands yeux!
- C'est pour mieux voir mon enfant.
- Ma mère-grand que vous avez de grandes dents!
- C'est pour te manger.
Et en disant ces mots, le méchant loup se jeta sur le petit chaperon rouge, et la mangea.domingo, 21 de febrero de 2010
Meunier tu dors
Ton moulin ton moulin va trop vite
Meunier tu dors
Ton moulin ton moulin va trop fort
Ton moulin ton moulin va trop vite
Ton moulin ton moulin va trop fort
Ton moulin ton moulin va trop vite
Ton moulin ton moulin va trop fort
Un petit cochon
Les petits poissons
viernes, 19 de febrero de 2010
Savez-vous planter les choux
À la mode, à la mode ?
Savez-vous planter les choux
À la mode de chez nous ?
On les plante avec le doigt
À la mode, à la mode
On les plante avec le doigt
À la mode de chez nous
On les plante avec les mains…
On les plante avec le pied…
On les plante avec le coude…
On les plante avec le nez…
jueves, 18 de febrero de 2010
Où vivent les monstres
Où vivent les monstres
Une tendre histoire infantile écrite par Maurice Sendak d'un enfant qui cherche d'échapper à une réalité qui le blesse en plongeant dans un monde imaginaire plein de créatures fantastiques.
Max est un petit qui jouit seulement de son enfance quand il s'enferme dans un monde imaginaire qui lui appartient, où il est le roi qui envoie tous et est dans le lieu unique où ses désirs deviennent une réalité.
Max fait et défait à sa guise dans ces terres magiques avec les habitants monstrueux qui l'accompagnent dans toutes ses aventures.
Le Petit Prince
Le premier soir je me suis donc endormi sur le sable à mille milles de toute terre habitée. J'étais bien plus isolé qu'un naufragé sur un radeau au milieu de l'océan. Alors vous imaginez ma surprise, au lever du jour, quand une drôle de petite voix m'a réveillé. Elle disait:
_S'il vous plaît... dessine-moi un mouton !
_Hein !
_Dessine-moi un mouton...
J'ai sauté sur mes pieds comme si j'avais été frappé par la foudre.
Le Petit Prince, par Antoine de Saint-Exupéry (1900-1944). | Traducción al español, por Gaston Ringuelet. |
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Le petit Nicolas et les copains
Quand Clotaire est arrivé à l'école, ce matin, nous avons été drôlement étonnés, parce qu'il avait des lunettes sur la figure. Clotaire, c'est un bon copain, qui est le dernier de la classe, et il paraît que c'est pour ça qu'on lui a mis des lunettes.
Le Petit Nicolas et les copains est un roman illustré de René Goscinny et de Jean-Jacques Sempé paru en 1963, roman comptant 16 histoires et mettant en scène le personnage du même nom. Il a reçu le prix Alphonse Allais.
Sommaire
[masquer]- 1 Liste des histoires
- 1.1 Clotaire a des lunettes !
- 1.2 Le chouette bol d'air
- 1.3 Les crayons de couleur
- 1.4 Les campeurs
- 1.5 On a parlé dans la radio
- 1.6 Marie-Edwige
- 1.7 Philatélies
- 1.8 Maixent le magicien
- 1.9 La pluie
- 1.10 Les échecs
- 1.11 Les docteurs
- 1.12 La nouvelle librairie
- 1.13 Rufus est malade
- 1.14 Les athlètes
- 1.15 Le code secret
- 1.16 L'anniversaire de Marie-Edwige
martes, 16 de febrero de 2010
Une souris verte
Une souris verte
qui courait dans l'herbe
je l'attrape par la queue
je la montre à ces messieurs
ces messieurs me disent
trempez-la dans l'huile
trempez-la dans l'eau
ça fera un escargot tout chaud
J'aime la galette
savez-vous comment?
quand elle est bien faite
avec du beurre dedans.
tra la la la la la la lère
tra la la la la la la la. (bis)
La Chandeleur, c'est la fête de la crêpe
La Chandeleur, c'est la fête de la crêpe
La Chandeleur a un parfum particulier,
chandelle allumée mais surtout odeur de crêpes que l'on prépare en famille,
entre amis.
À qui le tour de faire sauter la crêpe d'un poignet agile,
de tourner la poêle de la main droite en tenant une pièce en or de la main gauche.
Elle ne doit pas tomber,
coller au plafond ou retomber chiffonnée.
Réussir une telle acrobatie porte bonheur,
dit le dicton.
Personne n'y croît mais chacun essaie car si on réussit,
jamais on ne manquera d'argent toute l'année durant.
Mais la superstition va plus loin.
En effet,
en plus de faire sauter la première crêpe avec une pièce d'or,
il fallait ensuite l'enrouler autour de celle-ci.
Ce petit paquet était alors porté en procession par toute la famille et on la déposait tout en haut de l'armoire dans la chambre du plus ancien de la maisonnée,
là où,
dit-on,
elle ne moisira pas.
Les débris de la crêpe de l'an passé étaient alors récupérés et la pièce qu'elle contenait donnée au premier pauvre qui passait.
Chez les Acadiens de l'île-du-Prince-Édouard,
on faisait une quête ce jour-là pour venir en aide aux pauvres de la paroisse.
Mais pourquoi la crêpe?
Parce que son disque d'or nous rappelle le soleil.
C'est la survivance d'un mythe lointain se rapportant à la roue solaire qui expliquerait la coutume des crêpes (ou des beignets de forme ronde, dans le sud de la France)
Mais pour faire une crêpe de la Chandeleur,
elle doit être de froment,
celui qui provient de la moisson précédente.
On peut en empiler sans craindre la famine car bientôt les champs reprendront leur blondeur.
Si point ne veut de blé charbonneux
Mange des crêpes à la Chandeleur
Ainsi pensaient les habitants soucieux de trouver,
dans chaque signe,
le présage d'une bonne récolte.
La galette des rois
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| La galette des rois | |||||||||||||||||||
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miércoles, 10 de febrero de 2010
Frère Jacques
Dormez-vous, dormez-vous?
Sonnez-les matines, sonnez-les matines
Dig, ding, dong, dig, ding, dong.
Au feu, les pompiers
Y a la maison qui brûle !
Au feu, les pompiers,
V'là la maison brûlée !
C'est pas moi qui l'ai brûlée,
C'est la cuisinière,
C'est pas moi qui l'ai brûlée,
C'est le cuisinier.
Au feu, les pompiers,
Y a la maison qui brûle !
Au feu, les pompiers,
V'là la maison brûlée !
Ainsi font, font, font
Les petites marionnettes,
Ainsi font, font, font
Trois p'tits tours et puis s'en vont.
Les mains aux côtés,
Sautez, sautez marionnettes,
Les mains aux côtés
Marionnettes recommencez.
Ainsi font, font, font
Les petites marionnettes,
Ainsi font, font, font
Trois p'tits tours et puis s'en vont.
Et elles danseront
Les petites marionnettes,
Et elles danseront
Quant les enfants dormiront.
Les quatre saisons
La chaleur nous réchauffe toute la journée
Vive les plages et vive les vacances !
J'aime l'été et c'est comme ça !
Les journées raccourcissent, le soleil fuit
Tombe, tombe la pluie toute la journée
Les feuilles rouges et jaunes s'mettent à tomber
J'aime l'automne et c'est comme ça !
Il neige, c'est la tempête et il fait froid
Je mets mes mitaines et mes gros bas
Avec maman, je vais me promener
J'aime l'hiver et c'est comme ça !
Les oiseaux volent et font des gazouillis
Le gazon repousse, les feuilles aussi
Je vois enfin la nature qui renaît
J'aime le printemps et c'est comme ça !
J'aime les saisons et c'est comme ça !
Les mois de l'année
Mars, Avril, Mai,
Juin, Juillet, Août,
Septembre, Octobre,
Novembre, Décembre, ...(bis)
Douze mois dans l'année
ce n'est vraiment pas assez.
Pour pouvoir mieux s'amuser
il faudrait en rajouter.
Pour pouvoir mieux s'amuser
il faudrait en rajouter.
Janvier, Février, ....
Les jours de la semaine
Les jours de la semaine sont très disciplinés,
ils s'en vont en week-end mais sans se dépasser.
Lundi, Mardi, ... (bis)
Les jours de la semaine sont bien organisés,
chaque fois ils reviennent sans jamais se tromper.
Lundi, Mardi, ... (bis)
Les jours de la semaine ne peuvent plus s'arrêter,
ce sont toujours les mêmes et vous les connaissez.
Lundi, Mardi, ...(bis)